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Questions Fréquentes
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L’évaluation des besoins : une étape clé avant tout achat immobilier
Avant de se lancer dans l’achat d’un bien immobilier, il est essentiel de procéder à une évaluation rigoureuse de ses besoins. Cette démarche permet non seulement de cibler les recherches, mais aussi d’éviter les mauvaises surprises ou les achats impulsifs. Un achat immobilier représente souvent l’un des investissements les plus importants d’une vie : mieux vaut donc le préparer avec soin.
La première étape consiste à définir clairement l’usage du bien : s’agit-il d’une résidence principale, d’une résidence secondaire ou d’un investissement locatif ? En fonction de cet objectif, les critères de sélection peuvent considérablement varier.
Vient ensuite l’identification des besoins personnels et familiaux : le nombre de chambres, la surface habitable souhaitée, la présence d’un espace extérieur, la proximité des écoles, des transports, ou encore des commerces. Le style de vie de l’acheteur entre également en ligne de compte : une personne travaillant à domicile n’aura pas les mêmes attentes qu’un couple sans enfant ou qu’une famille nombreuse.
Le budget constitue bien sûr un facteur déterminant. Il convient de prendre en compte non seulement le prix d’achat, mais aussi les frais annexes : frais de notaire, éventuels travaux, charges de copropriété, taxe foncière, etc. Une évaluation précise de sa capacité d’emprunt et de son apport personnel est donc indispensable.
Enfin, il est judicieux d’anticiper l’évolution de ses besoins dans le temps. Par exemple, un jeune couple souhaitant avoir des enfants devra prévoir suffisamment d’espace pour accueillir une future famille.
En résumé, évaluer ses besoins en amont permet d’orienter efficacement sa recherche, de gagner du temps, d’éviter les erreurs coûteuses, et surtout, de faire un achat qui correspond vraiment à son mode de vie et à ses objectifs à long terme.
L’achat ou la vente d’un bien immobilier est une opération importante qui est encadrée par la loi afin de protéger toutes les parties impliquées. Que vous soyez acheteur ou vendeur, plusieurs dispositifs légaux existent pour sécuriser la transaction.
1. Le compromis ou la promesse de vente
Avant la signature de l’acte définitif, un avant-contrat est signé. Il peut s’agir d’un compromis de vente ou d’une promesse unilatérale. Ces documents engagent juridiquement les parties et précisent les conditions de la vente (prix, délai, conditions suspensives, etc.). Ils permettent d’encadrer la transaction et de fixer des garanties.
2. Le droit de rétractation (pour l’acheteur particulier)
Après la signature du compromis ou de la promesse de vente, l’acheteur non professionnel bénéficie d’un délai légal de rétractation de 10 jours. Durant cette période, il peut renoncer à l’achat sans avoir à se justifier ni à payer de pénalités.
3. Les conditions suspensives
Le compromis ou la promesse de vente inclut généralement des conditions suspensives, comme l’obtention d’un prêt immobilier. Si l’acheteur ne parvient pas à obtenir son financement, la vente peut être annulée sans frais, à condition que cela ait été prévu au contrat.
4. L’intervention d’un notaire
La signature de l’acte de vente se fait obligatoirement chez un notaire. Ce professionnel du droit s’assure de la légalité de la transaction, vérifie l’identité des parties, les titres de propriété, l’absence d’hypothèque ou de servitudes gênantes, et publie la vente au service de publicité foncière. Il agit comme garant de la sécurité juridique de l’opération.
5. Les diagnostics techniques obligatoires
Le vendeur est tenu de fournir à l’acheteur un dossier de diagnostics techniques (amiante, plomb, termites, performance énergétique, etc.). Ces documents informent l’acheteur sur l’état du bien et peuvent influencer sa décision d’achat.
6. La garantie des vices cachés
Même après la vente, l’acheteur est protégé par la garantie légale des vices cachés. Si un défaut non apparent rend le bien impropre à l’usage ou en diminue fortement la valeur, l’acheteur peut demander une réduction du prix, voire l’annulation de la vente.
Acheter ou vendre en premier : voilà une question que se posent de nombreux propriétaires lorsqu’ils envisagent de changer de logement. Les deux options ont leurs avantages et leurs inconvénients, et le bon choix dépend souvent de la situation financière, du marché immobilier local et de la tolérance au risque de chacun.
Vendre d’abord : une sécurité financière
Pour beaucoup, vendre avant d’acheter est la solution la plus prudente. Elle permet de connaître exactement le budget dont on dispose pour le nouvel achat. Cela évite de se retrouver avec deux crédits à gérer en même temps, ou de devoir vendre dans l’urgence, à un prix inférieur à la valeur réelle du bien. Cette option convient particulièrement aux marchés où les biens se vendent lentement, ou dans un contexte d’incertitude économique.
Cependant, vendre en premier peut aussi obliger à trouver une solution temporaire de logement (location, hébergement chez des proches…), ce qui peut représenter un coût ou un stress supplémentaire.
Acheter d’abord : éviter le stress de l’attente
Acheter avant de vendre, c’est l’assurance de ne pas rater le bien idéal quand on le trouve. Cela permet aussi de faire une transition plus fluide entre les deux logements, sans avoir à déménager deux fois. Cette stratégie est souvent choisie dans les marchés tendus, où les biens se vendent rapidement.
Mais attention : cette solution suppose d’avoir une situation financière solide. Il faut souvent recourir à un prêt relais ou disposer d’économies importantes pour couvrir les deux opérations. Le risque, c’est de ne pas vendre assez vite ou à un bon prix, et de se retrouver en difficulté financière.
Conclusion : une décision à adapter à son profil
Il n’y a pas de réponse unique à cette question. Acheter ou vendre en premier dépend du marché, de sa capacité d’emprunt, de son niveau de confort face au risque, et de la rareté des biens recherchés. Une bonne préparation, un accompagnement par des professionnels et une vision réaliste de ses besoins sont essentiels pour réussir cette double opération en toute sérénité.
Vendre vite, oui, mais sans brader. Voici les étapes clés pour mettre toutes les chances de ton côté :
1. Fixer le bon prix dès le départ
Un bien trop cher reste sur le marché, ce qui finit par inquiéter les acheteurs. Pour viser juste :
Faire estimer ton bien par plusieurs professionnels.
Étudier les ventes récentes dans le quartier.
Soyez réaliste : mieux vaut un prix juste qu’un prix « espéré ».
2. Soigner la présentation (home staging)
L’acheteur achète aussi avec ses émotions. Un logement propre, lumineux et bien rangé se vend plus vite.
Dépersonnaliser : enlève les objets trop personnels.
Désencombrer : plus d’espace, c’est plus vendeur.
Rafraîchir si besoin : un coup de peinture claire, ça change tout !
3. Des photos pro et une annonce accrocheuse
C’est la première impression qui compte.
Utiliser de belles photos, claires et bien cadrées.
Rédiger une annonce claire, avec les atouts du bien mis en avant (luminosité, balcon, transports, écoles…).
Pour permettre aux agents de l’agence Verticalimmo de faire une bonne estimation de votre appartement ou maison, il est important de fournir toute information utile sur votre bien.
L’estimation d’un bien immobilier prend en compte différents critères.
Bien évidemment, le premier critère est l’emplacement même du bien : le quartier, la disponibilité des biens et la demande des clients par rapport à un secteur précis.
Quels sont les éléments à prendre en compte pour estimer la valeur d’un local commercial ?
Pour procéder à une évaluation juste de votre local commercial, vous devez rassembler plusieurs éléments indispensables. Le premier est de savoir quels types de commerces peuvent y être installés, car les communes peuvent restreindre certaines activités dans certaines zones.
L’emplacement géographique est déterminant pour estimer une valeur. Par exemple, l’implantation du bien dans une zone piétonne, dans une rue passante, la présence de transports en commun et de parkings à proximité du bien, la présence d’une forte concurrence… sont des critères qui peuvent fortement influer le prix de vente du local commercial.
Ensuite, viennent s’ajouter plusieurs critères techniques qui sont également à prendre en compte. Il s’agit de :
- la superficie totale du bien (surface réelle et surface pondérée),
- les caractéristiques et les attributs du local (existence d’une vitrine, d’une réserve attenante, d’une cave…),
- le respect des normes et l’état global (travaux à prévoir, accessibilité, présence de sorties de secours, d’extincteurs, d’une alarme, installation électrique aux normes…).
L’état général du bien immobilier est très important : si des travaux doivent être réalisés avant la mise en vente du bien, il faudra le communiquer à l’agent, qui en tiendra compte lors de son estimation.
N’hésitez pas à fournir des informations complètes, négatives ou positives, car, lors d’une éventuelle visite, l’agent doit toujours être capable de répondre aux demandes des acquéreurs potentiels.
Quelle méthode appliquer pour obtenir une estimation du prix de vente d’un local commercial ?
Plusieurs méthodes d’évaluation existent pour obtenir la valeur d’un local commercial.
La comparaison
Comme toute vente immobilière, les murs commerciaux sont aussi soumis au marché de l’offre et de la demande. La méthode de comparaison est très souvent utilisée pour estimer les biens résidentiels, mais elle peut s’appliquer, dans certains cas, pour évaluer la valeur d’un local commercial.
Cette approche repose sur la comparaison des différentes offres similaires à votre local (superficie, secteur d’activité, zone d’implantation) dans une zone géographique donnée. Vous devez vous intéresser, ensuite, au prix du m² des locaux commerciaux semblables qui ont été vendus récemment.
Cette technique est rapide, mais elle est peu précise, car les ventes de murs commerciaux dans un secteur donné sont moins nombreuses que celles d’une maison ou d’un appartement. Il peut arriver que le nombre de biens à comparer soit insuffisant pour avoir une estimation objective.
l’idée est de comparer votre bien à des bien équivalents et non juste ceux qui sont en vente. En effet, certains traînent justement parce qu’ils sont trop chers)
Le coût de remplacement
L’estimation par le coût de remplacement est une technique moins utilisée, mais elle permet d’obtenir des résultats plus précis, qui sont appréciés, notamment, par les banques. La méthode consiste alors à calculer le coût de revient de la reconstruction du bien, si celui-ci devait être remplacé.
Vous devrez donc évaluer le prix actuel du terrain, le coût de la reconstruction du local à l’identique ou à l’équivalent (auquel cas, vous devrez prendre en considération les nouvelles normes technologiques et environnementales), les taxes et autres frais liés à cette reconstruction.
• AUTRES FACTEURS :
Elle variera également s’il y a des servitudes de passage ou des contraintes d’urbanisme.
En revanche la présence d’un garage, d’une porte blindée ou bien d’un gardien ne fera qu’augmenter la valeur de votre bien.
Le mode de chauffage et d’énergies utilisés pour votre bien peuvent être un avantage important pour l’estimation de celui-ci.
Dans le contexte actuel, par exemple, l’isolation et la performance énergétique (DPE) de votre bien, l’exploitation des énergies renouvelables (tel qu’un poêle à bois ou des panneaux solaires) donnerons de la valeur à votre maison et seront particulièrement intéressant pour d’éventuels acquéreurs.
Les caractéristiques du logement et de l’immeuble ont aussi une influence sur le prix de vente.
Pour réaliser l’estimation immobilière, évaluer les points forts et les points faibles du bien permettent de déterminer un prix au mètre carré. En général, on part du prix moyen qui a cours dans l’immeuble, que l’on pondère en fonction des atouts de l’habitation (on parle de surcote) et de ses défauts (on applique alors une décote).
Une fois l’analyse terminée, on obtient un prix moyen du mètre carré que l’on multiplie par la surface totale du logement.
Les agents immobiliers disposent d’outils d’évaluation leur permettant de travailler en toute objectivité.
Par exemple, une vue sur un monument, la mer ou une montagne, permettra de valoriser le prix au mètre carré de 5 à 20 %. Pour une orientation agréable (sud-est ou sud-ouest), comptez 3 à 5 % de plus que pour un logement exposé plein nord et enfin, pour une superbe terrasse, la valorisation peut atteindre jusqu’à 15 % du m2.
A contrario, un rez-de-chaussée se vendra jusqu’à 25 % moins cher qu’un logement similaire dans le même immeuble mais situé au 4e étage. Comptez 30 % de décote si le logement doit être rénové dans sa totalité et jusqu’à 10 % s’il est mal agencé (des chambres en enfilade par exemple) ou mal réparti (une grande entrée suivie d’un petit salon).
Ne pas confondre « Evaluation et Expertise » Immobilière
L’évaluation immobilière consiste à définir le prix « le plus juste » pour vendre le logement dans les meilleurs délais et au meilleur prix.
L’expertise consiste à apprécier la valeur vénale (afin de calculer les droits de succession ou l’impôt de solidarité sur la fortune) ou locative d’un bien, en fonction de paramètres financiers, techniques, juridiques, etc.
La question de devenir propriétaire se pose tôt ou tard pour beaucoup d’entre nous. Est-ce un choix judicieux, une étape essentielle vers la stabilité, ou une contrainte déguisée en rêve ? Avant de se lancer, il est important de peser les avantages et les inconvénients d’un tel engagement.
D’un côté, devenir propriétaire permet de se constituer un patrimoine durable. Plutôt que de verser un loyer chaque mois à fonds perdus, on investit dans un bien qui nous appartient peu à peu. C’est aussi une manière de préparer sa retraite ou d’assurer un avenir à ses enfants. Être chez soi, c’est aussi la liberté de modifier son espace à sa guise, sans l’accord d’un propriétaire.
Cependant, l’achat d’un bien immobilier n’est pas sans contraintes. Cela suppose un engagement financier sur le long terme, souvent avec un crédit immobilier qui s’étale sur plusieurs décennies. En cas de changement de situation personnelle ou professionnelle, il peut être difficile de revendre rapidement. Sans compter les frais annexes : taxes, travaux, entretien…
Enfin, tout dépend du contexte personnel. Une personne souhaitant s’installer durablement dans une région aura plus d’intérêt à acheter qu’une autre dont la vie est encore marquée par la mobilité. De même, les prix de l’immobilier peuvent varier fortement selon les zones, rendant l’achat plus ou moins rentable.
En conclusion, devenir propriétaire est un choix important, qui demande réflexion et anticipation. Il ne s’agit pas seulement d’une question financière, mais aussi d’un mode de vie. Chacun doit évaluer ses priorités, ses besoins et ses projets avant de franchir le pas.
L’achat d’un bien immobilier est une décision majeure qui nécessite une réflexion approfondie. Avant de se lancer dans cette aventure, il est essentiel de bien évaluer ses besoins afin de faire un choix judicieux, à la fois adapté à sa situation actuelle et à ses projets futurs. Voici quelques critères importants à prendre en compte pour évaluer ses besoins.
1. L’emplacement : un critère essentiel
L’emplacement du bien est sans doute l’un des éléments les plus importants à considérer. Il faut d’abord se demander dans quel quartier ou quelle ville vous souhaitez vivre. Privilégiez-vous un environnement urbain dynamique ou plutôt un cadre calme et rural ? Pensez également à la proximité des commerces, des écoles, des transports en commun et de votre lieu de travail. La localisation influence non seulement votre qualité de vie au quotidien, mais aussi la valorisation du bien à long terme.
2. Le type de bien : maison ou appartement ?
Le choix entre une maison et un appartement dépend souvent de votre style de vie. Si vous avez une famille ou envisagez d’en fonder une, une maison avec jardin peut être une option idéale. En revanche, si vous êtes célibataire ou en couple sans enfants, un appartement peut mieux correspondre à vos besoins. Réfléchissez aussi à la surface nécessaire : combien de chambres avez-vous besoin ? Un bureau pour télétravailler ? Un grand salon pour recevoir ? Tout cela doit être pris en compte avant de faire un choix.
3. Votre budget : combien pouvez-vous investir ?
Évaluer ses besoins financiers est un aspect crucial. Il est important de déterminer combien vous pouvez réellement investir dans l’achat d’un bien immobilier. Cela inclut non seulement le prix d’achat, mais aussi les frais annexes : les taxes, les frais de notaire, les travaux éventuels et l’entretien du bien. Une fois votre budget défini, vous pouvez mieux cibler les biens qui sont accessibles sans mettre en péril vos finances futures.
4. Les projets à long terme : investir dans le futur
Acheter un bien immobilier n’est pas seulement une décision qui doit correspondre à vos besoins actuels, mais aussi à vos projets à long terme. Si vous envisagez d’avoir une famille, une maison avec plusieurs chambres et un jardin peut être plus adapté. De même, si vous prévoyez de déménager dans quelques années, il peut être judicieux d’acheter un bien avec un potentiel de revente rapide ou une plus-value intéressante. N’oubliez pas de prendre en compte la durée pendant laquelle vous pensez rester dans le bien.
5. L’entretien et les travaux : êtes-vous prêt à investir du temps et de l’argent ?
Certains biens peuvent sembler attractifs à un prix abordable, mais peuvent nécessiter des travaux de rénovation ou un entretien constant. Avant d’acheter, évaluez votre capacité à effectuer ces travaux ou à engager des professionnels pour le faire. Un bien récent ou bien entretenu peut parfois être plus cher à l’achat, mais moins coûteux sur le long terme si vous ne devez pas réaliser de lourds travaux.
6. Les aspects juridiques et réglementaires : comprendre les contraintes
Enfin, avant d’acheter, il est crucial de vérifier les aspects juridiques du bien. Vérifiez que le bien respecte les normes de construction, s’il n’y a pas de contentieux en cours, ou s’il n’y a pas de restrictions d’urbanisme qui pourraient poser problème à l’avenir. Un expert ou un notaire pourra vous accompagner dans cette démarche.
En somme, l’évaluation de vos besoins avant l’achat d’un bien immobilier nécessite une analyse complète et réaliste de votre situation. Prenez le temps de définir vos priorités, tant sur le plan personnel que financier, pour faire un choix éclairé et éviter toute mauvaise surprise à long terme.
L’achat d’un bien immobilier est une étape importante et souvent l’un des investissements les plus significatifs dans la vie d’une personne. Cependant, il est essentiel de prendre en compte les frais de démarrage qui accompagnent cette démarche. Ces frais peuvent varier en fonction de plusieurs facteurs, mais ils sont généralement regroupés en plusieurs catégories.
1. **Frais de notaire** : Ces frais incluent les honoraires du notaire ainsi que les taxes liées à la transaction immobilière. Ils représentent généralement entre 7% et 8% du prix d’achat pour les biens anciens et peuvent être légèrement inférieurs pour les biens neufs.
2. **Frais d’agence** : Si vous passez par une agence immobilière pour acheter votre bien, des frais d’agence peuvent s’appliquer. Ceux-ci sont souvent à la charge du vendeur, mais il est important de vérifier les modalités.
3. **Dépôt de garantie** : Lors de la signature d’un compromis de vente, un dépôt de garantie est souvent demandé. Ce montant, qui peut représenter environ 5% à 10% du prix d’achat, est une preuve de votre engagement dans la transaction.
4. **Frais de dossier** : Si vous financez votre achat par un prêt immobilier, votre banque peut facturer des frais de dossier. Ces frais varient d’une institution à l’autre.
5. **Assurances** : Il est également conseillé de souscrire une assurance emprunteur pour protéger votre prêt en cas de décès, d’incapacité de travail ou de perte d’emploi. De plus, une assurance habitation est souvent requise dès la prise de possession du bien.
6. **Diagnostics immobiliers** : Avant la vente, des diagnostics sont nécessaires pour informer l’acheteur sur l’état du bien (plomb, amiante, performance énergétique, etc.). Ces diagnostics sont généralement à la charge du vendeur, mais il est bon de les prendre en compte dans le budget global.
En résumé, il est crucial de bien anticiper ces frais de démarrage afin de préparer votre budget en conséquence. Une bonne préparation vous permettra de vivre votre projet immobilier sereinement et d’éviter les mauvaises surprises.
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